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Le chantre Stromae confiait récemment être « sauvage » pour sa santé mentale, et qu’il voulait faire une pause dans sa carrière. Trop de succès ? Trop de fatigue ? Trop de médiatisation ? Stromae n’est pas le seul destinée à connoter ce domaine de la santé mentale en lien avec l’exposition médiatique : de Marilyn Monroe à Britney Spears, les portraits sont plus que nombreux. Alors la gloire pourrait-elle vraiment faire « vesser les plombs » ? voila quelques éléments de réponse.
chacun des jeunes rêvent-ils de célébrité ? Beaucoup, en tout cas, conformément le psychiatre et médecin J. -D. Nasio, réalisateur de Mon corps et ses peintures ( Payot, 2007 ) : « Ce désir se manifeste plus facilement chez eux, car il est toujours plus fréquemment pourvu par la quête d’identité. Le jeune a besoin de la reconnaissance des autres pour savoir qui il est toujours plus, alors que les gens mûres n’ont nul besoin d’être connues pour se sentir nécessaires. » La réelle question qui mène sa vie est celle du passage à l’acte. « Je ne suis monté sur estrade, mais je suis devenu un sociologue reconnu, qui continue à désirer la renommée, avoue François de Singly. Il y a eu un renvoi. Rêver de renom à 15 ans, c’est peut-être obtenir des possibilités d’être reconnu, peut être dans un autre secteur, à 40 ans… »
Entendue en ce sens, la popularité est un produit récent de l’histoire, immédiatement lié à l’explosion des médias et des moyens de distribution de l’image : cinéma, illustration, télévision, parade, affiches, Internet… Sans ces moyens-là, la popularité se confondrait encore avec la « renommée » angélique d’une Sarah Bernhardt, ou la « notoriété » d’un mortel comme Landru. Les stars sont aujourd’hui partout ou presque : musique, cinéma, spectacle evidemment, et aussi sport, inspirations, art, politique, et littérature… La hollywoodienne, l’idole rock and roll, la top style, le gardien de but soleil, le téléanimateur sérieuses, outre quelques qui sont ceux de l’aboutissement réussi sociale en général, correspondent avant tout un même risque : celui d’être abordé par un nombre importun d’adéquats pas connu. Vous ne les connaissez pas, mais eux vous connaissent, ou croient vous connaître, car – comme ma vendeuse – ils ont parfois oublié le nom qui va avec le corps.
Autre étape du développement, le temps du liégeois de Lacan, est le moment de se construire tout entier dans son propre imaginaire. L’enfant devant le banquise passe de l’image reflétée au regard familial et attend l’acquiescement de son consentement. Le regard de l’autre est constitutif de la façon dont on s’imagine soi. Ainsi convient-il de avoir la mine pour construire qui l’on est. La interroge le passant pour savoir dans quel virtuel elle se construit. Ce que le passant renvoie est une vision d’un monde irréel. L’image reflétée par l’admirateur est souvent celle d’un cosmos. Le célèbre, dorénavant galactique, jaillie de l’espace terrestre et est une référence prodigieuse de lui-même. Ce qu’il voit dans les regards contribue à le créer à une autre échelle que celle de l’humanité.
Il y a quelques jours, Mallaury Nataf faisait son retour dans les médias, logement malgré elle. Autrefois de la série Le Miel et les abeilles puis de Sous le soleil, elle est imminent du clair-obscur à l’ombre. Elle en a disposé pour établir une famille. Tout aurait pu se passer pour le mieux si le préjudice psychologique qui germait déjà en elle n’avait pas profité d’un autre puissant aller-retour de la renommée à l’anonymat pour lui soustraire son existence. Sept ans après sa participation à la Ferme des personnes célèbres, elle se rapprochait des éditorialistes pour expliquer qu’elle était à la rue. Elle avait remontée la pente, mais est retournée à la situation enlèvement. Cette fois-ci, c’est de façon plus claire. Non seulement elle est sans domicile fixe, mais il se raconte qu’elle élan dans les venelle parisiennes en marmonnant des prières dédiées à éloigner le maléfice. Et pour auréoler le tout, compte-tenu de son état physique, on lui a retiré la garde de ses plus jeunes.
La question est sérieuse : pourquoi les personnes s’intéressent-ils aux personnes célèbres ? Il doit me enfoncer le gène qui rend susceptible à regarder des émissions télés et acquérir des magazines readers ou à becquer ce qui se passe entre Brad et Angelina, parce que je ne l’ai jamais compris. Non, les célébrités ne m’intéressent pas vraiment; en revanche, j’aimerais réellement savoir pourquoi elles passionnent tant les gens. Petit tour d’horizon des hypothèses les plus appréciables.
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